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En bref : • Le malus écologique se durcira progressivement avec un seuil abaissé à 106g CO2/km en 2026 puis 99g CO2/km en 2027, impactant même les citadines thermiques. • Un premier tronçon du périphérique parisien est passé de 70 à 50 km/h depuis le 1er octobre, créant un conflit entre la maire de Paris et le ministre des Transports. • Le gouvernement Barnier envisage le retour de l'écotaxe poids lourds, suscitant l'inquiétude des transporteurs routiers déjà confrontés à de multiples défis économiques. |
Vous vous demandez comment Michel Barnier et son équipe vont chambouler votre quotidien d’automobiliste? Figure-vous que plusieurs annonces risquent de faire grincer des dents. Entre malus écologique renforcé et débat sur le périphérique parisien, accrochez-vous à votre volant! En savoir plus sur la fiscalité automobile
Le malus écologique se durcit considérablement
Aïe, aïe, aïe. Votre portefeuille risque de sentir passer la nouvelle. Le Premier ministre l’a confirmé lors de son discours de politique générale : le malus écologique va prendre du muscle.
Objectif zéro carbone… et rentrées fiscales
Double objectif pour le gouvernement : accélérer la décarbonation et – soyons honnêtes – renflouer un peu les caisses de l’État. Le plan? Abaisser progressivement le seuil de déclenchement du malus.
D’ici 2026, le couperet tombera dès 106 grammes de CO2 par kilomètre. Et ce n’est qu’une étape! En 2027, ce sera 99 grammes. Vous voyez le tableau? Même votre petite citadine thermique se retrouvera dans le viseur fiscal.
Les constructeurs français font déjà grise mine. Clio, 208… même nos fierté nationales pourraient se retrouver pénalisées. Et dans un marché déjà fragile, cette nouvelle règle ressemble à un virage en épingle particulièrement serré.
| Année | Seuil de déclenchement du malus | Impact |
|---|---|---|
| 2026 | 106g CO2/km | Citadines thermiques touchées |
| 2027 | 99g CO2/km | Majorité des véhicules thermiques concernés |
Périphérique parisien : le bras de fer est engagé
Vous connaissez le périph parisien? Cette artère mythique où l’on passe parfois plus de temps à l’arrêt qu’en mouvement? Un sacré terrain d’affrontement entre la mairie de Paris et le gouvernement!
50 km/h : décision contestée
Anne Hidalgo a tranché: depuis le 1er octobre, un premier tronçon est passé de 70 à 50 km/h. Une décision qui fait bondir François Durovray, le nouveau ministre des Transports. Sa réponse? « Cette infrastructure ne concerne pas uniquement les Parisiens. »
Le ministre, plutôt que de ralentir encore la circulation, propose une alternative qui sonne comme une évidence: améliorer l’offre de transports en commun pour la région francilienne. Une idée qui paraît sensée, mais qui demanderait des investissements massifs. J’ai testé le RER B en heure de pointe la semaine dernière, et comment dire… il y a du boulot!
L’écotaxe poids lourds fait son grand retour
Vous vous souvenez des « bonnets rouges » en Bretagne? Cette contestation massive contre l’écotaxe poids lourds? Eh bien, accrochez-vous, car le sujet revient sur la table!
Le ministre des Transports s’est déclaré favorable à sa remise en place. Une annonce qui a fait l’effet d’une bombe dans le secteur du transport routier. Jean-Marc Rivera, de l’Organisation des Transporteurs Routiers Européens, n’a pas mâché ses mots, évoquant une « vive inquiétude » dans un secteur déjà sous pression.
Entre hausse des carburants, transition vers des flottes moins polluantes et concurrence internationale féroce, les transporteurs français se sentent pris à la gorge. Cette écotaxe pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le camion-citerne.
En conclusion : un virage vert mais cahoteux
Le gouvernement Barnier semble déterminé à accélérer la transition écologique dans le secteur automobile, mais à quel prix? Entre contraintes pour les particuliers et défis pour les professionnels, on se demande si la route choisie n’est pas un peu trop escarpée. Et vous, êtes-vous prêt à changer vos habitudes de mobilité face à ces nouvelles mesures?

Je m’appelle Pascal praud et la sécurité routière, c’est mon cheval de bataille. J’ai toujours voulu rendre la route plus sûre, mais un jour, un panneau mal placé a déclenché une discussion mémorable avec un maire. La sécurité, c’est aussi une histoire de rencontres.